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Le Parfum, histoire d'un meurtrier. Tuer pour un parfum. Sulfureux, baroque, insaisissable, lisez ou relisez le magistral Parfum de Suskind. Comme une odeur, on ne l'oublie pas. MAB.
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Joli portait de femme forte, intelligente avec son amour, sa solitude, ses angoisses, mais aussi portait d’une nation avec son passé colonal, ses deux guerres, ses ambitions.
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Je suis passée à côté de "La contrebasse" de Patrick Süskind. Je pense qu'il vaut mieux voir ce long monologue sur cet instrument un peu bizarre au théâtre, d'une traite. Moi je l'ai lu par petits bouts, sur plusieurs jours, alors forcément, la montée en puissance du pétage de plomb du contrebassiste, je l'ai un peu ratée. En plus je ne suis pas musicienne pour deux ronds, alors les petits piques sur les differents musiciens de l'orchestre, là aussi je suis passée à côté. Dommage, car le traitement était original : l'amour du musicien pour son instrument se transformant en aigreur et reproches. Tant pis !
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