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Cette fois-ci l'auteur met un calendrier au début de chaque chapitre et barre les jours passés...cela peut aider dans ces incessants aller-retour qui personnellement me fatiguent. La ficelle est toujours la même. Pour les inconditionnels de Dicker.
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Au seuil de sa vie, Michelangelo Vitaliani, Mimo comme il aime être appelé, se souvient. C’est toute une vie, riche en pérénigrations dans l’Italie fasciste, qui défile. Parti de rien, il deviendra un sculteur vénéré et adulé. Très vite, il rencontrera son amie de toujours, la talentueuse et explosive Viola Orsini ayant elle toutes les cartes en main pour réussir. Tous deux formeront un duo atypique, ils connaitront le bonheur, les doutes, les disputes... La famille Orsini sera un élément clé dans la vie de Mimo et dessinera en partie son destin. Un livre fascinant qui vous fait cotoyer des personnages hauts en couleurs. Pas de doute, lorsqu’on est plongé dans cette grande fresque romantique, on a du mal à la lâcher !
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Élégante écriture, pas de verbiage inutile, une véritable merveille d'histoire qui laisse une magnifique empreinte
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Un grand plaisir de lecture ! Nous sommes emportés par ce roman graphique, alternant magnifiques paysages et cruauté humaine. Il nous entraîne dans la quête de vengeance de Little Knife et No Moon, deux indiens parqués dans des réserves qui refusent ce sort imposé.
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Je vous l’accorde, j’adore Lionel Shriver, alors vais-je réussir à être impartiale ?! Je ne sais pas, mais c’est une fois de plus, à mon humble avis, une vraie réussite ! La construction de ce roman, son thème et ses pages imaginatives qui sont parfois d’un jusqu’au-boutisme absurde, dérangeant et si drôle…. Car oui, il est possible de traiter de la fin de vie, de façon drôle, ironique et même caustique. Un livre surprenant, un régal tel qu’on lui pardonne ses digressions un peu longues parfois…
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J'avais beaucoup aimé le premier volume de "Jamais", qui nous narrait l'histoire un peu triste de Madeleine, veuve dont la maison en bord de falaise menaçait de s'écrouler. Nous la retrouvons ici avec plaisir, mais toujours bien embêtée avec cette maison qui amène touristes et activistes dans le petit village de bord de mer où elle habite, ce qui est loin de plaire à tous. Aussi, lorsqu'une partie de la falaise s'écroule, faisant deux disparus, la menace d'être expulsée revient de nouveau... J'ai moins accroché que sur le tome précédent : j'ai trouvé l'histoire un peu resucée, moins touchante, avec quelques longueurs. Par contre j'ai bien aimé le traitement des relents nationalistes de certains personnages, ça remet les choses à leur place. Et le lien avec la seconde guerre mondiale est incroyable ! Bref, à découvrir quand même !
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J'apprécie beaucoup Baptiste Beaulieu, mais là je vois que mes enfants ont grandi et que j'ai passé l'âge de lire des albums jeunesse. L'intention "Des gens sont beaux" est pourtant louable : montrer à nos enfants la vraie beauté des personnes, celle qui n'apparait pas forcément dans leur physique, mais se cache au contraire dans leurs failles et leurs défauts. Cet album a eu pour moi un goût de trop peu : j'aurais aimé qu'il y ait plus de personnages, de vies racontées, de belles histoires. Mais la bienveillance est là et c'est bien le principal.
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Dernier tome de sa série autobiographique, "L'arabe du futur 6" a un triste goût de fin. J'ai aimé découvrir cette jeunesse hors-norme au Moyen-Orient, au sein d'une famille aux origines si différentes ; cette analyse fine des différences entre les modes de vie de ces sociétés, bien cachée derrière l'humour et l'innocence de l'enfance ; et puis ces histoires de famille, si terribles, qui trouvent ici leur dénouement doux-amer. Merci Mr Sattouf d'avoir partagé tout cela avec nous.
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Je n'ai jamais lu un livre aussi triste. Sur le souvenir et sur les brutalités d'un régime totalitaire incarné par la famille El Assad. L'auteur nous écrit au détour d'un ver que le patronyme de cette famille , El Assad (le lion) était au départ El Wahch qui se traduit par "le monstre". Le grand père de Bachar el Assad s'appelait ainsi Ali Sulayman el-Wahch. On s'habitue très vite à l'écriture particulière du livre et on s'immerge d'emblée dans la tristesse et la résignation du personnage pincipale. Je recommande ce livre.
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