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Tout comme la série "Stranger things", "Été 85" de François Ozon surfe sur l'actuelle vague de revival des années 80. Et c'est tant mieux, moi ça me fait du bien (en fait ça me fait surtout bien sourire !). Bref, c'est l'été 85 dans cette petite station balnéaire de Normandie. Alexis trompe tant bien que mal son ennui de lycéen en vacances, jusqu'au jour où lors d'une sortie en mer qui tourne mal il est sauvé par le lumineux David. Celui-ci le fait entrer dans sa vie comme un ami de toujours, voire plus si affinités... Le film doit beaucoup à ses deux formidables interprètes, Benjamin Cousin en tête. Ils retranscrivent très bien cette période particulière de la vie qu'est l'adolescence, où les sentiments peuvent vite être exacerbés dans une quête d'absolu. Et puis on retrouve l'ambiance singulière des films d'Ozon, un peu angoissante et mystérieuse. Bref, j'ai bien aimé.
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J'avais adoré son "Persépolis", et dévoré son "Poulet aux prunes". Je ne pouvais donc pas rater le dernier film de Marjane Satrapi, sur en plus une figure emblématique de la science et du féminisme, à savoir Marie Curie. "Radioactive" retrace donc la vie de cette figure quasi mythique au caractère bien trempé, puissamment interprétée par la belle Rosamund Pike : ses difficultés à être entendue en tant que femme dans un monde d'hommes, sa rencontre et sa relation avec Pierre, puis sa vie sans lui à poursuivre ses recherches. Ces dernières apparaissent d'un autre temps, à extraire de tonnes de minerais ces éléments si singuliers. Ce qui est aussi pas mal, c'est qu'en parallèle apparaissent dans le film leurs applications, qu'elles soient bonnes ou mauvaises... Bref, un bon film que j'avais peur de trouver un peu austère, et qui s'est au final révélé très vivant.
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Une adaptation très correcte du superbe roman de Ransom Riggs. Miss Peregrine protège ses 'enfants particuliers', de jeunes personnes surprenantes, en les enfermant dans une boucle de temps, 1 jour précis dans le passé. Mais ils ne peuvent rester invisibles à leurs ennemis éternellement...
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(Fantastic Beasts and Where to Find Them) J.K.Rowling signe ici un film passionnant, spin-off de ses Harry Potter. Retour dans le passé, voyage aux États-Unis, à une époque ou New-york tente de toucher le ciel, un lieu ou les Moldus sont appelés Non-majs. Norbert Dragonneau (Newt Scamander, l'auteur du livre scolaire 'Les animaux fantastiques' d'Harry) est un fanatique des créatures fantastiques et les étudies de près. Son arrivée à NY coincide avec le déclenchement de catastrophes en chaine...
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Le meilleur animé 2016 ! Quand les maîtres sont aux travail, que font leurs animaux, seuls dans les appartements ? Ils s'ennuient énormément et finissent par vivre une grande aventure pleine d'animaux mignons, courageux, terrifiants et badass !
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Bruce Lee…il y a bien longtemps que je n’avais pas vu un de ses films et la magie opère toujours autant ! Certes le personnage qu’il incarne dans La Fureur de Dragon, Tang Lung, est un peu caricatural, mais on passe outre et on se régale de ses combats réglés au millimètre, chorégraphiés à la perfection (même les bruits de chats de Bruce Lee font partie intégrante du combat), sans parler de l’athlète surdoué. Un mot tout de même sur l’histoire : Tang est appelé en Italie pour aider sa famille, victime de racket. Grâce à ses talents de combat, il gêne les malfrats qui sont contraints d’embaucher un champion d’art martial, joué par Chuck Norris, pour se débarrasser de lui. L’art du kung-fu est porté à la perfection lors de ce célèbre combat final dans le Colisée de Rome. Dans cette troisième œuvre majeure de Bruce Lee, il est à la fois le personnage principal, le scénariste, mais aussi réalisateur et producteur. Ce film peut évoquer parfois une comédie (le méchant efféminé, le manque de tact de Tang, la découverte de certaines mœurs italiennes…) mais le dernier rebondissement de l’histoire a ce côté sombre et tragique dont Bruce Lee ne peut se départir. A noter : cette version est remasterisée et intégrale (on y voit des scènes jusqu’alors coupées par le distributeur français René Château). Attention, après visionnage, les enfants ont une fâcheuse tendance à vouloir imiter Bruce Lee, poussez les meubles ! Un gros coup de cœur. MAB.
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