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J'ai tout d'abord adoré le titre de ce "Charme discret de l'intestin", décalé et rafraichissant à la fois. Et puis quand j'ai su que c'était un livre de vulgarisation médicale, j'ai dit banco ! Giulia Enders, jeune étudiante allemande en médecine, nous dit tout sur le fonctionnement de cet organe qui nous semble si peu glamour. Et elle le fait très bien, surtout dans la 1ère partie du livre, où nous comprenons tout ce qui se passe dans notre corps, et surtout notre bidounet, une fois cette belle bouchée de gâteau ingurgitée. Le problème, c'est que le livre ne tient pas sur la durée : si la seconde partie nous apprend encore des choses, notamment sur les liens insoupçonnés entre notre intestin et notre cerveau, cela devient franchement soporifique avec le dernier tiers, où tous les petits microbes décrits ont eu raison de mon attention : on a l'impression qu'on nous redit 100 fois la même chose. J'ai également et personnellement trouvé les illustrations de ce livre très moches : je crois que j'aurais été capable de les dessiner moi-même, ce qui vu mon niveau en arts plastiques n'est vraiment pas terrible. Bref, un peu déçue.

Un florilège des publicités sexistes, racistes ou simplement stupides classées par thèmes : la famille idéale, les enfants, les armes ,la cigarette, l’alcool, la femme, le machisme, l’homme, la voiture, la santé, le racisme.Un exemple dans la femme : « Un destin tout tracé, le cœur de la femme appartient à son électroménager ». Et dans le racisme : « Le noir qui devient blanc ne peut-être qu’heureux, le savon est-il un ascenseur social ? "Jubilatoire.