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elle a 30 ans, aime le champagne, écrit des romans... puis une rencontre celle de Pétronille. Amélie Nothomb va se raconter a travers ces échanges son pour autant nous emmener à travers une histoire et une fin réelle et concrète."Barbe Bleu" reste après "Stupeur et tremblement" l'un de mes préférés.
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4ème volet des enquêtes de l’inspecteur Carl Morck et de ses acolytes Assad et Rose du département V, celui des cold cases danois. Cette fois-ci Rose tombe sur le dossier inachevé de la disparition d’une prostituée 20 ans auparavant. Inutile de préciser que Carl préférait se la couler douce dans son bureau à rêver de sa belle psychologue, mais Assad l’entraine vite dans son enquête. Ils découvrent alors qu’elle n’est pas la seule à avoir disparue ce jour-là, même si le lien avec les autres affaires est loin d’être évident… Ce que j’aime bien avec les romans de Jussi Adler-Olsen, c’est qu’ils font à la fois partie d’une série dans laquelle on retrouve les mêmes personnes et leurs histoires récurrentes (le trauma irrésolu de Carl, le passé d’Assad, les problèmes psychologiques de Rose), tout en étant tous originaux sur leur thème principal : avec ce 4ème volume, c’est ici un pan peu reluisant de l’histoire danoise qui est dévoilé, lorsque les femmes jugées légères étaient internées et stérilisées de force, dans un eugénisme qui pourrait malheureusement tout à fait encore se poursuivre de nos jours. C’est d’ailleurs sur ce point que l’auteur insiste lourdement dans le livre, à travers le personnage certes peu nuancé mais néanmoins présent du très méchant docteur Curt Wad. Bref, même si ce n’est pas de la grande littérature, un bon cru, vite, le suivant !
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Enzo Popov, 12 ans et en surpoids, vit dans grand et bel appartement des beaux quartiers parisiens. Mais ce logement ne lui appartient pas. Les propriétaires le confient à sa mère lors de leurs nombreuses et longues absences afin qu'elle l'entretienne.Tous deux partagent la même chambre et ce n'est guère facile pour un adolescent en plein recherche de lui-même. De plus, au collège "le fils de la bonne" devient vite la tête de turc de tous les élèves .La première partie décrit la relation fusionnelle entre Enzo et sa mère Liouba, les humiliations vécues par l'un et l'autre, la recherche de racines par l'adolescent pour qui la lecture est une évasion, la violence de la société, la précarité, le harcèlement scolaire et l'aveuglement du corps enseignant. Véronique Olmi arrive à nous toucher de façon percutante dans cette partie.J'ai eu plus de mal à accrocher à une seconde partie que j'ai trouvée longue et détachée du reste du récit. Enzo trouve une échappatoire sous la présence fantastique de soldats russes qui pourraient faire partie de sa lignée familiale. Un roman bien noir avec cependant quelques éclaircies : l'amour entre Enzo et sa mère, un hommage à la lecture et l'amitié de Charles au milieu de collégiens hostiles et violents.Elvira
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J'ai lu "La nostalgie heureuse" d'Amélie Nothomb, et j'ai trouvé ça moyen, encore une fois... Pourtant ça se lit bien (et vite): l'auteure retourne sur les traces de son enfance et de sa vie japonaise, et nous fait partager ses sentiments, mitigés forcément. On retrouve ainsi un condensé des livres d'Amélie Nothomb que je préfère: "métaphysique des tubes", "La biographie de la faim", et "Ni D'Eve ni d'Adam" notamment. Mais rien de bien nouveau non plus. Bref, encore un livre pour engranger de la monnaie, mais quand se remettra-t-elle vraiment au travail ?DD78
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Ce livre est mon premier Amélie Nothomb: je me suis dis que pour commencer, un petit volume, c'était bien. J'ai passé un bon moment de lectures, en suivant les pas d'Amélie au Japon. Elle est partagée entre beaucoup d'émotions différentes et cela la rend humaine et proche de nous. J'ai très envie de découvrir maintenant " Ni d'Eve, ni d'Adam".
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Années 2070 : aux USA, la prohibition a repris. Oui, mais ce sont le café et le chocolat qui sont interdits car considérés comme addictifs ! Anya Balanchine est la fille de l'ancien Parrain, mort assassiné 7 ans plus tôt, laissant Anya gérer seule sa petite sœur son frère adulte resté bloqué à 9 ans, et sa grand-mère mourante. Or, après lui avoir réclamé une barre de chocolat, son ex-petit ami tombe dans le coma, empoisonné... Anya est accusée à tort et voit sa vie retournée : elle doit faire face aux paparazzi et à la méfiance de ses camarades, endurer la prison, et surtout reprendre contact avec la Famille. De ses choix découleront son avenir mais aussi ses amours avec le fils du procureur...Anya est vite attachante et son récit est loin d'être mièvre. Comment une jeune fille peut-elle faire face à ce genre de problème et gérer sa vie ? Faire des choix importants ? Un futur possible s'ouvre à nous avec Anya en nouvelle héroïne de la Mafia !De 12 à 120 ans :)La Mafia du chocolat Gabrielle Zevin, Albin Michel : Wiz, 2012, 16 €Titre original : All these things I've done
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3ème tome des enquêtes du département V, dédié aux cold cases danois. L'inspecteur Carl Mørck qui le dirige est toujours moyennement bien dans sa peau après l'intervention qui a coûté la vie de son collègue et laissé l'autre tétraplégique. Et ce n'est pas son assistant syrien bedonnant et un peu farfelu, ni sa secrétaire hardos et susceptible qui arrangent le tout. Mais quand une vieille bouteille à la mer contenant un message illisible arrive d'Ecosse, ces deux derniers se réveillent et arrivent à le décrypter : c'est un SOS écrit par deux jeunes garçons danois kidnappés... L'affaire est rondement menée, avec ce qu'il faut de suspense, d'attente et de rebondissements, tout en s'appuyant sur la galerie de personnages déjà en place. On tremble pour eux, et on les tourne vite encore ces pages pour connaître le fin mot de l'histoire. Pour ma part le meilleur tome de la série jusqu'à présent. Vivement le 4ème !
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Petite, Wally est adoptée par un riche couple d’américains. Aujourd’hui, après le départ de son père adoptif, elle vit dans la rue. La découverte de documents russes à son nom la lance sur la trace de ses parents biologiques. Seulement, sa famille est dangereuse et sa quête va mettre ceux qu’elle aime en danger…Un bon thriller ! Wally est comparée à Lisbeth Salander, et l’image est juste : débrouillarde, arnaqueuse, dure et à la fois forte et fragile, Wally veut la vérité par tous les moyens.Public concerné : adolescent, adulteWilliam Richter – Albin Michel : Wiz, 2013, 15€Mélanie, Méré
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JM Guenassia nous entraine à nouveau (après son 1° roman , le club des oncorrgibiles optimistes) dans une aventure extraordinnaire en compagnie de Joseph kaplan son nouveau héros.Etudiant en médecine à Prague, puis Paris dans les années 30, on le suit à Alger où il est chercheur à l'Institut Pasteur.Il y restera jusqu'à l'apès guerre et rentrera ensuite dans son pays natal;on y assiste à la montée du communisme et on découvre enfin qui est ce mystérieux Ernesto GJe ne me suis pas ennuyée une seconde ...Jocelyne Pontchartrain
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J'ai lu "Barbe bleue" d'Amélie Nothomb, et comme d'habitude, ça a fait pschiitttt... Suite à une annonce de colocation, Saturnine rencontre Elemirio, un riche héritier espagnol pour le moins bizarre : fervent admirateur de l'Inquisition, il se déclare photographe, cuisine divinement bien, n'a jamais bu de champagne, et, ah oui, a eu avant 8 colocataires qui ont mystérieusement disparues... Bon, je vous rassure tout de suite, l'auteure ne s'est pas plus foulée pour celui-là que pour les autres. Elle reprend le mythe de Barbe bleue à sa manière, et en fait le prétexte à de savoureux dialogues entre les 2 protagonistes, qui rappellent parfois ceux de "Hygiène de l'assassin". Mais bon, c'est vite torché quand même, et ça ne vole pas bien haut, si ce n'est dans le choix du prénom de ses héroïnes: Saturnine, bravo !DD78
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"DEUX" d'Irène NEMIROVSKY La guerre finie, la jeunesse dorée se jette à corps perdu dans le plaisir. Une seule règle, profiter de chaque instant et s'étourdir.La jeunesse de l'après-guerre s'oppose à toutes les formes de convention bourgeoise.Passant d'une soirée à l'autre, les jeunes pensent au mariage mais rêvent de passion. Les couples se font et se défont. Se croisent parfois.Irène NEMIROVSKY dépeint avec une extrême finesse l'érosion des sentiments et la corruption des corps.Le mariage, irrémédiable solitude, offre néanmoins avec le temps à chacun des conjoints, une certaine forme de paix.De beaux passages, comme celui-ci : "Que les êtres nous demeurent fermés, inconnus, mystérieux ... Et pourtant, si nous observons volontiers le secret vis-à-vis d'autrui, il existe des créatures humaines auxquelles nous voudrions passionnément laisser de nous une image fidèle. Ce sont nos enfants
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