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Un thriller qui nous tient jusqu'au bout. On se s'attache très vite à Elsa, le personnage principal et on vit ses émotions jusqu'à la fin du roman où comme elle, on comprend ce que veut dire la phrase "vous comprendrez à la fin du film". Ce roman mérite bien sa place au Prix des Lecteurs 2023-2024.
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Les libanais disent que celui qui dit connaître le liban n'a rien compris du tout. L'auteur ne dit pas mieux mais avec lui, on approche quelques vérités sur le Liban. C'est aussi un bel hommage de l'auteur à ses parents. Vraiment à lire.
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Ce sont Deux France qui se confrontent dans cet album original de Pascal Rabaté, « Sous les galets la plage » : celle de nos grands-parents, très traditionnelle, qui ont connu la guerre, et celle de leurs enfants, qui se prépare doucement à mai 68. L’action se situe en Bretagne, à la toute fin des vacances : un groupe de copains profite une dernière fois avant la rentrée des belles maisons secondaires de leurs parents, pendant que ces derniers sont de retour au boulot. Ils passent le temps entre ennui, appréhension et cuites, jusqu’à ce que leur chemin croise celui d’Odette, jeune femme libérée qui les met sans dessus-dessous… J’ai bien aimé le titre déjà, et puis cette action dans une époque particulière, où le poids des traditions commençait à se frotter à un vent de liberté. Je trouve que cela est très bien traduit dans cet album, au début de façon légère, et puis après beaucoup moins. Et cela est encore accentué avec le choix de placer la narration dans des tons beige et bleu-gris, faisant appel au passé. A préciser que c’est un album pour adultes.
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Un coup de cœur pour cet album à l'humour décalé. De quoi interloquer et faire sourire les enfants, et pas que...MAB
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C'est une très belle histoire bouleversante qui nous rappelle la force de l'amour pour nous aider à nous relever. Je le conseille à tous même aux adultes. Mon coup de cœur de l'été. Marie-Pierre G
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Chouette, Esther a 16 ans, et grâce à cela Riad Sattouf nous gratifie d’un 7ème tome de ses cahiers d’Esther ! Nous revivons donc à travers ces 52 planches cette fabuleuse année 2020-2021, avec son lot de confinement, couvre-feu et autres joyeusetés. La jeune fille a (je trouve) murit, et offre un regard critique sur cette période si singulière : confrontation vax/anti-vax, théories du complot, ou tout simplement le respect du port du masque. Elle réalise également qu’elle a de la chance d’être bien entourée, entre des parents aimants, un grand frère qui lui aussi grandit (il a une copine !) et un petit frère pour lequel elle a même le courage d’organiser l’anniversaire avec les copains (la couverture de l’album). Bref, pour moi carton plein avec ce dernier tome qui a très bien su retranscrire l’ambiance de l’année dernière. A l’année prochaine !
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Après avoir parcouru le monde et l'avoir dessiné dans des carnets, Nicolas Jolivot a décidé de voyager une année dans son jardin. Il y retrace son histoire, mais aussi les rencontres avec la faune qui l'habite et l'observation de sa flore. Les dessins pleins de douceur de l'auteur font la part belle à cette vie qui nous entoure mais qu'il nous arrive de ne plus regarder. Un magnifique livre qu'il est possible de lire d'un trait ou par chapitre en fonction de ses envies !
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Moran, le patriarche de ce roman irlandais qui vient d’être réédité, a combattu dans les rangs de l’IRA pendant la guerre d’Indépendance de 1919 à 1921. Aigri, veuf et père de 5 enfants, il se remariera avec Rose, discrète et aimante. Il mène sa famille et sa ferme avec intransigeance, parfois avec violence. Mais l’on perçoit malgré tout que ce personnage écorché vif ne parvient pas à exprimer ses sentiments. Les rapports difficiles feront fuir au loin ses deux garçons mais ses filles parviendront à gagner leur indépendance sans se détacher complètement de l’amour pour leur père et de la maison où elles reviendront régulièrement jusqu’à la mort du patriarche pour l’accompagner. Les émotions et les relations entre les personnages ne cessent de vaciller entre amour et haine. La campagne tout au long des saisons et les modes de vie qui s’y transforment sont décrits sublimement. Un roman que je n’ai pas lâché et que je recommande absolument ! Elvira neto
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Je n'ai jamais lu un livre aussi triste. Sur le souvenir et sur les brutalités d'un régime totalitaire incarné par la famille El Assad. L'auteur nous écrit au détour d'un ver que le patronyme de cette famille , El Assad (le lion) était au départ El Wahch qui se traduit par "le monstre". Le grand père de Bachar el Assad s'appelait ainsi Ali Sulayman el-Wahch. On s'habitue très vite à l'écriture particulière du livre et on s'immerge d'emblée dans la tristesse et la résignation du personnage pincipale. Je recommande ce livre.
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