Le trône de fer
Titre volume  Le trône de fer N°1
Titre origine  A game of thrones
Compl. Titre  l'intégrale
Auteurs   Martin, George R. R. (Auteur)
Sola, Jean (Traducteur)
Edition  J'ai lu : Paris , impr. 2009
Collection   J'ai lu
Collation   785 p. 1 vol.
Illustration   cartes, couv. ill. en coul.
Format   19 cm
indice Dewey   803
ISBN   978-2-290-01943-6
Prix   14,90 EUR
Langue d'édition   français
Catégories   Science-fiction
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Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
GAMBAIS L-008885 SF MAR 1Adultes / Disponible à GAMBAIS
VILLIERS 1786830023158 SF MAR T1Adultes / Disponible à VILLIERS
Notes : Réunit : "Le trône de fer" ; "Le donjon rouge"

Commentaires

J'avais bien aimé la série, j'ai adoré le roman. Ou plutôt les romans, car ce premier volume de l'intégrale en contient deux. Amateurs de fantasy, fidèles de Tolkien, réjouissez-vous, cette saga est faite pour vous: on y retrouve toutes les figures de cette mythologie (dragons, chevaliers, rois pourris et magiciens), mais dans un univers bien singulier qui fourmille d'idées et d'imagination: ainsi cet été qui dure plusieurs années, et qui sera suivi d'un hiver tout aussi long, annonciateur de désolations; ces corbeaux, qui servent de pigeons voyageurs; ou encore ce "mur", qui protège le monde des hommes des terribles créatures du nord. Coté histoire, nous suivons les tribulations des "grandes maisons" afin d'accéder à ce fameux trône de fer, et où certains vont se bruler les ailes (enfin plutôt les moustaches, enfin je me comprends...). Bref, une grande saga chevaleresque et cynique, j'ai trop hâte de lire la suite ! DD78
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Ce livre commence à dater (1993). Je l’ai trouvé dans la bibliothèque de mon père qui n’était pourtant pas du genre à lire ce type d’ouvrage et je le relis régulièrement malgré son épaisseur ! C’est de loin celui que j’ai préféré de toutes mes lectures jusqu’à présent et j’y fais souvent référence dans mes propres écrits, c’est vous dire à quel point son héroïne m’a marquée.S’appuyant sur de réelles recherches épistolaires, il s’agit de toute la vie de Fanny Osbourne qui devint l’épouse et la muse de Robert Louis Stevenson, créateur de la célèbre Île au trésor. Fanny nous emmène du pays des chercheurs d’or aux Etats-Unis où avec grand courage elle va partir de rien pour construire son foyer, au pays des impressionnistes de Barbizon pour s’adonner à sa passion et où elle rencontrera l’Écrivain, en Angleterre où son naturel dénotera fortement dans la haute société, aux Îles du Pacifique où elle assistera son mari autant dans son œuvre que dans sa maladie jusqu’à leur établissement dans l'archipel des Samoa où elle s’acharnera à construire leur nouvelle villa. Cette vie, c’est un morceau de bravoure qui annonce, avant l’heure, l’émancipation de la femme ; on en arrive même à se demander parfois qui est l’auteur de l’œuvre de RLS, lui-même ou son épouse qui lui est si dévouée ? Une œuvre magistrale qu’Alexandra Lapierre enrichit d’un énorme travail documentaire.Il a 2 ou 3 ans, un téléfilm (Les aventuriers des mers du sud) a mis en scène d’une manière, à mon avis, bien pâle, la personnalité de Fanny Osbourne dans les îles du Pacifique. Saviez-vous par ailleurs que « Voyage avec un âne dans les Cévennes » de RLS (récit et randonnée autobiographiques) a pris place afin que l’auteur essaie d’oublier Fanny après une rupture ?Émérance Bétis de Jouars-Pontchartrain.
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