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Cette fois-ci l'auteur met un calendrier au début de chaque chapitre et barre les jours passés...cela peut aider dans ces incessants aller-retour qui personnellement me fatiguent. La ficelle est toujours la même. Pour les inconditionnels de Dicker.
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Au seuil de sa vie, Michelangelo Vitaliani, Mimo comme il aime être appelé, se souvient. C’est toute une vie, riche en pérénigrations dans l’Italie fasciste, qui défile. Parti de rien, il deviendra un sculteur vénéré et adulé. Très vite, il rencontrera son amie de toujours, la talentueuse et explosive Viola Orsini ayant elle toutes les cartes en main pour réussir. Tous deux formeront un duo atypique, ils connaitront le bonheur, les doutes, les disputes... La famille Orsini sera un élément clé dans la vie de Mimo et dessinera en partie son destin. Un livre fascinant qui vous fait cotoyer des personnages hauts en couleurs. Pas de doute, lorsqu’on est plongé dans cette grande fresque romantique, on a du mal à la lâcher !
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Élégante écriture, pas de verbiage inutile, une véritable merveille d'histoire qui laisse une magnifique empreinte
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Certains diront que les livres de Joël Dicker sont tous pareils, et ils auront peut-être raison. D’autres diront qu’il est un pur produit marketing sachant très bien utiliser les tableaux d’Edward Hopper, et ils auront sûrement raison aussi. Mais il n’empêche que j’ai passé un excellent moment avec son dernier opus, « L’affaire Alaska Sanders », que j’ai littéralement dévoré. Petite ville de Mount Pleasant, dans le New Hampshire. Une joggeuse matinale découvre le corps sans vie d’une jeune femme au bord du lac du coin (enfin pas que, mais je ne veux pas vous gâcher la surprise !). Bref, une rapide enquête permet de mettre un de ses amis sous les verrous pour perpétuité. Mais c’est sans compter notre Marcus Goldman national qui dix ans après va inopinément venir fourrer son nez dans cette histoire-là, et nous la résoudre cette enquête ! Comme d’habitude, passé et présent s’entremêlent dans cette histoire pleine de rebondissements, le premier éclairant le second sous un angle nouveau. On est heureusement loin du grand n’importe quoi de « La disparition de Stéphanie Mailer », ainsi que du burlesque de « L’énigme de la chambre 622 » : ici l’intrigue tient diablement bien la route. Annoncé comme le second tome de la trilogie Goldman, entre « La vérité sur l’affaire Harry Québert » et « Le livre des Baltimore », j’avais peur d’un résultat alambiqué pour faire le lien entre les deux : il n’en est rien. On dévore les 569 pages en se disant qu’on relirait bien les deux autres. Bref, pour moi une belle réussite !
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Dans une famille des Cévennes nait un enfant lourdement handicapé, troisième de la fratrie. Clara Dupont-Monod nous livre un roman choral dans lequel chaque membre de la famille raconte comment il a vécu l’arrivée de cet enfant qui mourra à 10 ans. Tous les sentiments sont décrits avec une grande justesse et sans pathos : de la tristesse, de la colère, de l’incompréhension et surtout beaucoup d’amour. Au fil du roman, nous voyons comment cet enfant permettra à chacun de s’adapter avec humanité et de se construire ou de se reconstruire. Un coup de cœur de cette rentrée de janvier pour ce roman dont je suis sortie apaisée malgré son sujet. Elvira
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a lire sans modération Apres vérification sur youtube toutes les situations décrites ne sont pas inventées mais bien réelles....un peu effrayant !
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J’ai de la chance dans mes lectures en ce moment, je ne tombe que sur des supers livres ! Comme par exemple « L’anomalie », de Hervé Le Tellier, accessoirement prix Goncourt 2020. Je ne suis pas spécialement prix littéraires, mais j’étais bien curieuse de la découvrir, cette anomalie… Le roman commence par une galerie de personnages (et franchement, quels personnages !) qui se font tous arrêtés par les services secrets américains : Blake, le restaurateur parisien qui mène une double vie de tueur à gages ; Lucie, mère célibataire monteuse de cinéma qui ne sait pas trop quoi faire de sa relation avec un vieil architecte fou amoureux et un peu collant ; Joanna, redoutable avocate d’affaires américaine qui a un peu de mal à assumer la couleur de sa peau ; Slimboy, rappeur nigérian qui commence à connaitre un succès planétaire. On en découvre 11 comme ça, 11 personnes très différentes mais qui ont cependant un point commun : celui d’avoir pris le vol Air France Paris-New-York du 10 mars 2021 3 mois plus tôt… Ce que j’ai aimé dans ce livre, c’est la surprise : quelle peut donc bien être l’anomalie du titre ? Une fois en avoir pris connaissance, on suit avec suspense les protagonistes pour savoir comment chacun va s’en sortir. Mais ce que j’ai adoré, c’est la galerie de personnages du début : en quelques pages, Hervé Le Tellier parvient à dresser des portraits uniques et singuliers, chacun avec une ambiance et un contexte différent. Je suis par contre un peu moins fan du dernier tiers du livre, où je me suis fréquemment emmêlée les pinceaux. Cependant cette « anomalie » reste pour moi une vraie réussite, je recommande chaudement.
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Ce roman est un vrai coup de cœur sur le harcèlement au collège très adapté pour tous à partir de 10 ans. Marie-Pierre G
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« Betty » de Tiffany McDaniel, n’est peut-être pas un coup de cœur, mais il n’en est vraiment pas loin : j’ai vraiment beaucoup beaucoup aimé. Nous sommes dans l’Amérique profonde des années 50, celle où il ne fait pas bon avoir la peau un peu trop foncée. Pas de chance, celle de Betty l’est un peu, avec son père Cherokee. Le roman nous raconte son incroyable enfance, passée entre cet homme extraordinaire à la vision du monde tellement différente, une mère toxique dépressive et dérangée, et ses frères et sœurs tous aussi singuliers les uns que les autres… Cela parle d’amour bien sûr, de différence, de haine et de racisme. Il est vraiment incroyable d’imaginer que des personnes puissent avoir eu de tels comportements avec des enfants sous prétexte de la couleur de leur peau : c’est pour moi tellement inconcevable ! Le livre prend le temps de nous faire partager le quotidien de Betty, et tout ce savoir et cette mentalité indienne que son père tente de lui transmettre. Certains trouveront que le trait est trop appuyé, moi au contraire je l’ai trouvé touchant et émouvant. Bref, un livre magnifique, qui mérite amplement le succès qu’il a connu en librairie l’année dernière.
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Attention, coup de coeur ! J'achète très rarement des livres à leur sortie, mais celui-là m'avait tapée dans l'oeil, alors j'ai craqué. Nous sommes dans l'Angleterre de 1937, et en ce début d'été tout le clan Cazalet se prépare à se réunir dans la grande maison de campagne du Sussex : il y a le Brig, le patriarche à la tête de l'entreprise familiale de négoce de bois, qui commence à perdre un peu la vue ; la Duche, son épouse, très prise pour s'occuper de son jardin, un peu moins pour les problèmes de son mari ; Hugh, le fils aîné rescapé et traumatisé de la grande Guerre, qui surprotège sa femme quite à la rendre malheureuse ; Edward, le cadet volage qui ennuie pourtant son épouse au lit ; Rupert, le benjamin veuf remarié à une jolie capricieuse ; et puis leurs femmes, enfants, cousins et domestiques, qui font que cette fresque donne une bonne idée de la vie de riches bourgeois anglais à la veille d'un nouveau drame mondial... "Étés anglais" est le premier tome de la saga des Cazalet, écrite par Elisabeth Jane Howard il y a 30 ans. Sous des abords qui peuvent paraître futiles, on découvre peu à peu les joies et les drames de cette tribu so british, ce qui la rend d'autant plus attachante. Bref, vivement le mois d'octobre pour lire le second tome !
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