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Vous est-il déjà arrivé de lire un bouquin tout en sachant pertinemment qu'il n'est pas terrible, prévisible et mal écrit, mais en voulant tout de même en savoir un peu plus sur les personnages que vous suivez depuis quelques temps ? Et bien moi oui, cela a été le cas avec "Printemps", de Mons Kallentoft. Je suis en effet déjà passée par les 3 autres saisons avant d'ouvrir celui-là, ce qui a été suffisant pour m'attacher au personnage de Malin, inspectrice de police alcoolique et un peu perdue qui entend les morts la mettre sur la bonne piste, mais suffisant aussi pour m'apercevoir des longueurs, des idées presque nauséeuses et de l'absence de style de son auteur. "Printemps" n'échappe pas à la règle. Une bombe a explosé dans le centre de cette ville de province suédoise, et 2 petites filles ont été pulvérisées. La police et ses idées reçues se ruent vers la mosquée et les gangs de motards sans aucun indice, mais Malin sent bien que la vérité est ailleurs, même si sa mère venant de mourir elle n'a pas tout à fait la tête à ça. Et puis il y a ce manque qui la taraude, ce secret que lui cachent ses parents : saura t'elle enfin la vérité ? Les méchants sont vraiment très très méchants, ce secret un peu pétard mouillé, et ça dure 550 pages, mais d'un autre coté ça ne prend pas la tête et ça permet de penser à autre chose... Bref, pas top, mais bouuuh, je crois que je vais lire le suivant, pauvre de moi...
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Stockholm. Le corps d?une jeune fille est retrouvé dans le jardin familial. Non loin de là, Siri, jeune psychiatre travaille dans le cabinet qu?elle a ouvert avec deux confrères et amis. Depuis le décès « accidentel » de son mari, dont elle peine à se remettre, la jeune femme mène une vie solitaire dans une demeure isolée, au bord de la plage. C?est alors qu?elle retrouve l?une de ses patientes, Sara, noyée près de son domicile. Une enquête est ouverte. Quelqu?un s?en prend peu à peu à son entourage et Siri se sent observée? Un roman policier plaisant et bien construit dont le suspens est habilement maintenu .Les pensées de l?agresseur se rapprochant peu à peu de sa victime, ponctuent et pimentent le récit, distillant çà et là des indices sans toutefois révéler son identité.
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