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J'avoue que je suis assez perplexe après la lecture de ce petit livre. A quel public est-il destiné ? Le format (petit, illustré, avec de gros caractères) fait penser à un album jeunesse, alors que le thème (un élève tué par un autre dans une classe de terminale) est clairement adulte. Mais peu importe, j'ai trouvé l'ensemble original, que ce soit au niveau de l'histoire (cf ci-dessus) que de son traitement : dans des petite chapitres chaque élève de la classe donne sa version des faits, construisant peu à peu le drame dans notre tête. J'ai aimé retrouver chaque protagoniste sur la photo de classe de la couverture, avec cette question lancinante : parmi toutes ces têtes, qui est la victime ? Bref, un ovni que j'ai bien aimé !
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« Vous êtes de preux combattants, prêts à offrir votre vie pour le Jour. Face à vous, les hordes de la nuit avides de sang, aiguisent leur lame. Le terrible affrontement qui s?annonce peut vous paraître identique à ceux, innombrables, qui l?ont précédé mais il n?en est rien ». C?est la petite Léna, si discrète, qui s?adresse ici à une foule de gnomes, trolls, elfes, centaures et autres créatures du monde des Imaginaires. Le jour du Basculement est arrivé, la lutte contre Leucémia peut commencer? Prenant, captivant, émouvant. COUP DE C?UR. Marie-Astrid, médiathèque de Viliers Saint frédéric
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L?histoire se déroule en Inde. Leela a treize ans. Issue d?un milieu aisé, jolie et heureuse, elle s?apprête à partir vivre chez son époux auquel elle a été promise depuis l?âge de 2 ans. Mais celui-ci mordu par un serpent décède. Leela va découvrir les lois de son pays et de sa caste. Elle devra vivre enfermée dans sa maison pendant un an, couper ses cheveux, quitter ses beaux habits et ses bijoux et surtout se projeter dans un avenir de veuve, mise à l?écart de la vie, ou plus jamais elle ne pourra se remarier. Nous sommes en 1920, Ghandi omniprésent dans le roman prêche ses idées progressistes, et Leela pourra compter sur son frère et sur sa directrice d?école pour sortir de cet enfermement. C?est un roman plein de finesse pour expliquer le poids des traditions et des contradictions de ce pays. L?auteure s?est inspirée de la vie de sa grand-tante devenue veuve très jeune et jamais remariée.
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J'ai adoré ce livre ainsi que toute la trilogie, car elle est pleine de sentiment et d'action. Une lectrice Méréenne
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Ce livre est tout simplement génial ! J'ai adoré la série du tome 1 au tome 3 !Pour ceux qui souhaiteraient le lire, voici un extrait faisant office de résumé :"L'ouverture est le chemin qui te conduira à l'harmonie.C'est en s'ouvrant que le marchombre perçoit les forces qui constituent l'univers.C'est en s'ouvrant qu'il les laisse entrer en lui.C'est en s'ouvrant qu'il peut espérer les comprendre".
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Cette fois-ci je suis partie en plein Japon médiéval grâce au « Silence du rossignol », de Lian Hearn, premier tome de la trilogie du Clan des Otori. Takeo est un jeune homme un peu sauvage qui vit dans la montagne avec sa famille et les gens de son village. Mais un jour qu’il rentre d’une promenade solitaire, il les retrouve tous sauvagement assassinés par le terrible seigneur Iida. Il ne doit la vie sauve qu’à l’arrivée opportune de sire Shigeru, du clan des Otori, qui le prend alors sous son aile et décide de l’adopter… « Game of thrones » pour ados au pays des nippons, voilà qui pourrait résumer ce chouette livre d’aventures bien exotiques. On en prend plein les yeux avec ces traditions d’un autre temps, et ce code de l’honneur singulier pour nous occidentaux. L’histoire d’amour est par contre gentillette, ce qui explique peut-être la classification « young adults » de l’ouvrage. Très sympa quand même, je lirai le second volet avec plaisir.
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