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Élégante écriture, pas de verbiage inutile, une véritable merveille d'histoire qui laisse une magnifique empreinte
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Lorsque nous sommes inconditionnels d'un auteur, nous tremblons toujours lors de la sortie d'un nouveau livre : la perte de la déception! C'est mon cas pour Olivier Adam et je ne suis pas déçue par le récit de cette fille de chanteur disparu et que des amis pensent avoir aperçu à Lisbonne. Elle part à sa recherche; sans doute pour tenter de se construire puisque son enfance ne le lui a pas permis. Tous les mots d'Oliver Adam sont nécessaires. J'ai lu ce roman d'un seul trait entraînée par la description des villes (Lisbonne et Paris) et le partage des émotions si vives de "La fille du chanteur". Un livre à lire comme on écoute une chanson! Elvira
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a lu "Les lisières" d'Olivier Adam, et a été troublée... Paul est un écrivain quadra tourmenté et dépressif, qui en plus vient de se faire larguer par sa femme. Mais les choses vont encore empirées lorsqu'il va être amené à retourner sur les lieux de son enfance suite à un problème de santé de sa mère: la banlieue sans âme qui l'a vu grandir va alors faire rejaillir en lui son mal-être, mais aussi lui permettre de faire le point... Vous l'aurez compris, il faut avoir une grosse patate pour lire ce bouquin, car l'auteur ne nous épargne aucun de ses états d'âme ni de ses questions existentielles. Ce qui m'a troublé, c'est notre similitude : né en 1974 et élevé dans la banlieue parisienne, Olivier Adam fait référence à bon nombre de choses (artistes, lieux, évènements, voir ressentis) qui me sont connus, et qui forcément me parlent et me font réfléchir. Cela peut aussi être la faille du bouquin: qu'en pensera quelqu'un de beaucoup plus âgé, ou ayant grandi ailleurs ? Pour ma part, je trouve la réflexion bonne. J'espère par contre pour lui que ce roman n'est pas totalement autobiographique !DD78
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Histoire d’amour et de rivalité entre 2 sœurs chinoises, d’abord à Shanghaï entre tradition du culte des ancêtres et modernité du quartier occidental, le tout sous l’invasion japonaise, ensuite à Chinatown de Los Angeles entre capitalisme et racisme, le tout sous la menace de l’extradition et la montée du communisme en Asie. Un cocktail détonnant d’oppositions de mœurs et de culture !J’ai hâte de lire la suite « Ombres chinoises » Flammarion 2012 qui ne figure malheureusement pas au catalogue du réseau.Emérance Bétis
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