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L'histoire de l'art est abordée à travers des œuvres majeures, qui sont commentées et replacées sur une frise chronologique. Cette présentation permet de comprendre aisément les différents courants artistiques. De plus, l'auteur présente sur une double page des thèmes essentiels. Un livre très didactique pour comprendre l'évolution artistique, de la préhistoire à nos jours.
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Voici 75 histoires de couleurs, chacune pouvant se découvrir indépendamment des autres en fonction de ses envies. En 2 ou 3 pages par teinte, l'auteur explique sa relation avec la mode, l'art, l'histoire ou le quotidien. Je vous recommande particulièrement les différentes teintes de rose, notamment la teinte "puce". Attention vos idées risquent d'être bousculées !
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Super, Science fiction , c'est à dire extrapolation d'une science. Ici il s'agit de biotechnologie. Y aurait-il ou y aura-il des monstres qui se construisent sur Internet ou ailleurs et qui vont bouleverser nos certitudes un de ces jours Dominique
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La légende d'YS en BD. Un royaume somptueux bâti au coeur des eaux bretonnes par dame Malgven. Des personnages énigmatiques, des soeurs que tout sépare. De la magie. Une malédiction. Des disparitions... Une bande dessinée captivante. Laissez-vous ensorcelé par la légende d'YS ! MAB.
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Inkarmations de Pierre Bordage Deux mondes antagonistes - le bien et le mal - utilisent des artifices pour pérenniser ou anéantir l’existence humaine sur terre et ailleurs. Rien de bien nouveau. L’originalité de l’exercice c’est que ces forces ne sont pas homogènes. Sans se priver des voyages uchroniques de leurs « soldats », elles sont pétries de questionnements sur le bien-fondé de leurs apparents devoirs. Le mal reste assuré, le bien infecté par le mal. Trop de méchants chez les gentils. Réflexion passionnante sur la notion de destin, le karma, les vies parallèles, mais aussi sur les dérives du pouvoir, l'obéissance aveugle et le contrôle des individus On retrouve les questions permanentes de l’auteur. Ecriture fluide, enchainement de la trame évènementielle dense, trop dense ? Un bon roman qui pose questions en intervenant et en mettant en parallèle les diverses solutions d’organisations que se donnent les hommes au long de ce long fleuve pas tranquille. Dominique
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"Le dimanche des mères”, c'est ce jour particulier en Angleterre où les domestiques des grandes maisons avaient le droit exceptionnel de prendre leur journée afin de rendre visite à leurs familles. Et dans ce pays douloureusement touché par la 1ère guerre mondiale, cela n'était pas rien. Graham Swift choisit de se pencher plus particulièrement sur le personnage de Jane, jeune femme de chambre, qui profite elle aussi de cette belle journée de 1924. Mais ce que ses patrons ne savent pas, c'est que Jane est orpheline, et va en fait rejoindre secrètement le fils de leurs amis, dont elle est depuis quelques temps la maitresse. La jeune domestique pénètre donc pour la première fois dans la demeure de son riche amant, mais aussi pour la dernière : Paul doit se marier quelques jours plus tard... Malgré ce pitch assez romanesque, le livre est en fait bien plus profond que cela : il décrit un monde destiné à disparaitre, où une jeune femme décide de braver discrètement les interdits. La lecture peut au début paraitre creuse, mais gagne peu à peu en profondeur au fur et à mesure que le personnage de Jane s'étoffe. Et on est finalement surpris par le chemin où nous mène cette histoire. Bref, un petit moment de délicatesse toute british pour les fans d'un temps révolu.
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Comme chaque fois Mo Hayder distille le suspens jusqu'à le porter au paroxysme. Ame sensible s'abstenir. The beast est le film inspiré de ce roman.
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En fait, ce livre m a saoulé dès la quarantième page. Peut être en aurait il fait 300 aurai-je persévéré mais 1108 pages, en fait, NOOOOOON. Vive la bibliothèque qui nous permet d avoir l occasion de tenter de lire certaine prose sans avoir de remords.....
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Attention, coup de coeur ! J'achète très rarement des livres à leur sortie, mais celui-là m'avait tapée dans l'oeil, alors j'ai craqué. Nous sommes dans l'Angleterre de 1937, et en ce début d'été tout le clan Cazalet se prépare à se réunir dans la grande maison de campagne du Sussex : il y a le Brig, le patriarche à la tête de l'entreprise familiale de négoce de bois, qui commence à perdre un peu la vue ; la Duche, son épouse, très prise pour s'occuper de son jardin, un peu moins pour les problèmes de son mari ; Hugh, le fils aîné rescapé et traumatisé de la grande Guerre, qui surprotège sa femme quite à la rendre malheureuse ; Edward, le cadet volage qui ennuie pourtant son épouse au lit ; Rupert, le benjamin veuf remarié à une jolie capricieuse ; et puis leurs femmes, enfants, cousins et domestiques, qui font que cette fresque donne une bonne idée de la vie de riches bourgeois anglais à la veille d'un nouveau drame mondial... "Étés anglais" est le premier tome de la saga des Cazalet, écrite par Elisabeth Jane Howard il y a 30 ans. Sous des abords qui peuvent paraître futiles, on découvre peu à peu les joies et les drames de cette tribu so british, ce qui la rend d'autant plus attachante. Bref, vivement le mois d'octobre pour lire le second tome !
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