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Un petit roman attachant et pétillant, qui nous raconte une histoire de solidarité entre personnes de toutes générations. Un livre très agréable à lire, tout en finesse et douceur .Bibliothèque de Bazoches
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Jolie histoire, d'une jeune fille perdue, en éternelle fuite. Abandonnée par son père, sa mère a bout l'envoie dans un foyer en Dordogne.
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Beau récit du parcours d'une adolescente qui se cherche. Un roman avec une lueur d'espoir sans être nièvre.
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On pense connaître mais on ne connaît pas !Emmanuel Ringelblum, historien, réunit une élite et des bénévoles pour écrire la chronique de la disparition de la communauté yiddish. Il rassemble documents et témoignages relatant tous les aspects de la vie quotidienne : la foi de certains pour les masses allemandes nazies, les relations entre Juifs et Polonais, la délation, la prostitution et la corruption au sein du Ghetto, la peur ou le désir de résistance, la vie des habitants dans les immeubles et dans la rue, la vie des Juifs et leur mort.Ces documents écrits par les Juifs aux générations futures ont été retrouvés dans des bidons de lait et des boîtes en fer enfouis en 1943 afin d’assurer la transmission de leur histoire. Elles ont été déterrées en 1946 sur l’intervention d’une rescapée, Rachel Auerbach.Ce livre traduit de l’Américain ne requiert pas de connaissances historiques particulières. Il est très accessible et rassemble beaucoup d’informations qui vont à l’encontre des idées reçues. C’est une nouvelle façon d’écrire l’Histoire : ce documentaire dédié aux générations futures est une réflexion sur la transmission de la mémoire et sur la manière dont elle se fabrique.Kassow est un historien américain mais je ne vous en dirai pas plus :allez voir le podcast de l’émission traitant de cet ouvrage « les matins de France Culture » du 30/09/2011 sur le site de la fondation de la Shoah.
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"DEUX" d'Irène NEMIROVSKY La guerre finie, la jeunesse dorée se jette à corps perdu dans le plaisir. Une seule règle, profiter de chaque instant et s'étourdir.La jeunesse de l'après-guerre s'oppose à toutes les formes de convention bourgeoise.Passant d'une soirée à l'autre, les jeunes pensent au mariage mais rêvent de passion. Les couples se font et se défont. Se croisent parfois.Irène NEMIROVSKY dépeint avec une extrême finesse l'érosion des sentiments et la corruption des corps.Le mariage, irrémédiable solitude, offre néanmoins avec le temps à chacun des conjoints, une certaine forme de paix.De beaux passages, comme celui-ci : "Que les êtres nous demeurent fermés, inconnus, mystérieux ... Et pourtant, si nous observons volontiers le secret vis-à-vis d'autrui, il existe des créatures humaines auxquelles nous voudrions passionnément laisser de nous une image fidèle. Ce sont nos enfants
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Suite des aventures d'Arthur, jeune diplomate écrivant les textes du charismatique Alexandre, ministre des affaires étrangères françaises. Cette fois-ci nous sommes plongés à l'aube de l'un des événements majeurs de la fin du XXème siècle, à savoir la menace de l'intervention américaine dans l'Iraq de Saddam Hussein sous le prétexte de la présence d'armes de destruction massive. Nous découvrons ainsi l'envers du décor de la gestion de cette grave crise internationale, et c'est vraiment passionnant : le poids de chaque mot utilisé, les alliances entre les pays (enfin surtout entre leurs représentants), pour aboutir à ce discours magistral de Dominique de Villepin à l'ONU en février 2003. C'est drôle, fin, intelligent, critique, bref, un tome 2 largement au dessus du premier, qui était déjà très bien !
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Vous est-il déjà arrivé de lire un bouquin tout en sachant pertinemment qu'il n'est pas terrible, prévisible et mal écrit, mais en voulant tout de même en savoir un peu plus sur les personnages que vous suivez depuis quelques temps ? Et bien moi oui, cela a été le cas avec "Printemps", de Mons Kallentoft. Je suis en effet déjà passée par les 3 autres saisons avant d'ouvrir celui-là, ce qui a été suffisant pour m'attacher au personnage de Malin, inspectrice de police alcoolique et un peu perdue qui entend les morts la mettre sur la bonne piste, mais suffisant aussi pour m'apercevoir des longueurs, des idées presque nauséeuses et de l'absence de style de son auteur. "Printemps" n'échappe pas à la règle. Une bombe a explosé dans le centre de cette ville de province suédoise, et 2 petites filles ont été pulvérisées. La police et ses idées reçues se ruent vers la mosquée et les gangs de motards sans aucun indice, mais Malin sent bien que la vérité est ailleurs, même si sa mère venant de mourir elle n'a pas tout à fait la tête à ça. Et puis il y a ce manque qui la taraude, ce secret que lui cachent ses parents : saura t'elle enfin la vérité ? Les méchants sont vraiment très très méchants, ce secret un peu pétard mouillé, et ça dure 550 pages, mais d'un autre coté ça ne prend pas la tête et ça permet de penser à autre chose... Bref, pas top, mais bouuuh, je crois que je vais lire le suivant, pauvre de moi...
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Le dernier brame / J. C. Servais. - Dupuis, 2011. Depuis sa rencontre avec le grand écrivain Bernard Chalenton, la vie de Claudine semble s'être arrêtée. Ne compte plus pour elle qu'un livre de cet auteur, Monsieur Blanche, qu'elle lit et relit sans relâche depuis près de vingt ans. Sa fille, Colette, qu'elle a abandonnée à la naissance, décide tout de même d'essayer de communiquer avec cette femme psychologiquement fragile. Colette va accepter d'entrer dans la névrose de sa mère pour communiquer avec elle et se prêter à une lutte avec cet homme auquel elle est bien plus liée qu'elle ne le croit. Colette et sa mère vont inopinément faire réapparaître dans leur vie Bernard Chalenton, en manque d'inspiration, à la personnalité manipulatrice et au passé des plus troubles.Une histoire classique, bien menée par ce parallèle avec une nature animale. Du bon Servais, les dessins sont splendides. Emmanuelle - lectrice
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La marque indélébile du groupe sanguin est présente sur l?avant-bras gauche de David Goldberg, vieil homme respecté et influent de la société allemande qui est retrouvé mort assassiné à son domicile. Cette marque était propre aux membres de la Waffen SS. David Goldberg était pourtant rescapé de la Shoah et avait fui l'Allemagne pour les Etats-Unis. Puis, à sa retraite, il était retourné s'établir à Frankfort. Les chiffres 1-6-1-4-5 sont écrits sur le mur avec le sang de la victime et la scène est d'une cruauté effroyable. Des meurtres tous aussi barbares les uns que les autres se suivent et beaucoup de victimes sont âgées. Existe-t-il un lien entre elles ? Les détectives Olivier Von Bodenstein et Pia Kirchhoff de la Kripo de Hofheim prennent l'enquête en main.En bref un premier meurtre qui a toutes les apparences du crime antisémite mais qui va se révéler tout autre. La tension est palpable dans tout le roman, on est sur le qui vive jusqu'au dénouement. Des indices distillés au compte-goutte, le moindre fait a son importance.Résultat : difficile de lâcher le livre avant l'apothéose finale !Excellent premier roman traduit d'un auteur à succès allemand.Emmanuelle
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Jules prend un jour 2 cachets d'ecstasy pour impressionner une fille, avant de sombrer dans le coma quelques instants plus tard. Quand il se réveille, à l'hôpital, les médecins lui apprennent qu'il a perdu l'audition totalement. Plongé dans le monde du silence, Jules décide de faire face. Mais dira-t-il qui lui a fourni la drogue ? Roman adolescents court, précis, sans concession. Emmanuelle
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Dans cette adaptation en bande dessinée de son blog, l’auteur s’amuse à vulgariser la science en mêlant rigueur scientifique, pédagogie et… humour ! Et ça marche. Chaque note est reprise sur plusieurs pages. L’auteur ne perd jamais son souffle, et je vous déconseille de lire cet opus dans les transports si vous n'aimez pas vous faire remarquer ! Juste une chose : Prof Moustache est là pour nous apprendre la réalité. Un bonheur.Mélanie, Méré
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