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Élégante écriture, pas de verbiage inutile, une véritable merveille d'histoire qui laisse une magnifique empreinte
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Ecriture riche et fluide. Intrigue qui nous tient en haleine. Les décors sont à la fois angoissants et peints d'une beauté sauvage. Les personnages sont bien campés et crédibles. J'ai dévoré ce pavé de 457 pages. Un seul petit regret : quelques longueurs au milieu de l'intrigue
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Lorsque nous sommes inconditionnels d'un auteur, nous tremblons toujours lors de la sortie d'un nouveau livre : la perte de la déception! C'est mon cas pour Olivier Adam et je ne suis pas déçue par le récit de cette fille de chanteur disparu et que des amis pensent avoir aperçu à Lisbonne. Elle part à sa recherche; sans doute pour tenter de se construire puisque son enfance ne le lui a pas permis. Tous les mots d'Oliver Adam sont nécessaires. J'ai lu ce roman d'un seul trait entraînée par la description des villes (Lisbonne et Paris) et le partage des émotions si vives de "La fille du chanteur". Un livre à lire comme on écoute une chanson! Elvira
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Vraiment ce livre est incroyable ! Je l'ai lu avec le collège et je ne donnais vraiment pas beaucoup d'espoir en ce livre mais au final ce livre est une pépite ! Lisez le !!!!!
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A vomir. Ce livre est à vomir. "Une semaine de vacances", de Christine Angot. Ou plutôt quelques heures de lecture éprouvantes. Nous sommes quelque part du coté de Grenoble, dans une maison louée pour les vacances de la Toussaint. Il est là, cinquantenaire cultivé et archi-pédant. Elle est là, frêle jeune fille qui ne sait pas lui dire non. Et pourtant il va lui en demander des choses où elle aurait dû dire non, lui hurler, lui cracher à la gueule. Mais elle les fait, sans émotion, machinalement, toute dans son emprise, voulant lui faire plaisir, pour garder son amour. Tout est décrit dans les moindres détails, et c'est crû, et c'est glauque, et c'est à vomir, mais ça je vous l'ai déjà dit. On n'est pas trop sûr qu'il s'agisse d'un inceste, mais peu importe, l'horreur est là. En plus l'effet du fond est décuplé par la forme, celle d'un long chapitre qui ne s'arrête jamais pendant 140 pages. Bref, vous l'aurez compris, ma lecture de Christine Angot s'arrêtera là.
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